L’Union européenne veut garantir un approvisionnement régulier en semi-conducteurs sur le Vieux Continent. Mais, en dehors des subventions, elle n’a pas grand-chose à offrir…
Dans le cadre de la présidence française de l’Union européenne, Bruxelles s’intéresse de plus près à la « souveraineté numérique » – une question que j’ai déjà abordée dans un article fin janvier sur La Chronique Agora. L’UE veut s’attaquer au manque chronique de semi-conducteurs sur le marché mondial, une pénurie qui a lourdement affecté les entreprises technologiques européennes. En ce sens, l’Union européenne chercher à s’attaquer à un véritable problème.
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